Vous n’imaginez pas ce que cachent certaines briques de jus d’orange…

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Stéphanie, une mère de famille habitant près de Lille, a fait une fâcheuse découverte dans une brique de jus d’orange, le matin du 12 novembre. Inclassable, l’objet non identifié retrouvé à l’intérieur de la Tetra Pak a quoi qu’il en soit de quoi dégouter pour toujours les aficionados des jus de fruits vendus en rayon frais.

Pas sûr que Stéphanie ait de sitôt envie de reprendre ses habitudes s’agissant de consommation de jus de fruits en brique. Le 12 novembre au matin, cette mère de famille issue de Lomme, à quelques pas de Lille, se sert un grand verre de jus d’orange comme chaque jour. Problème : après avoir absorbé quelques gorgées, elle se rend compte que le goût du jus d’orange est "ignoble". Elle décide alors de vider le reste de la bouteille dans l’évier et s’aperçoit qu’un bloc solide reste à l’intérieur. Après avoir découpé la bouteille, elle trouve ensuite un amas indéfinissable au fond de la boîte, qu’elle définit comme "une épaisse couche de moisi de plus d’un centimètre d’épaisseur".

C’est à ce moment que la jeune femme essaye de prendre contact avec le directeur du supermarché où elle s’est procuré la brique de jus d’orange. C’est finalement via le service client qu’elle réussira à décrocher un rendez-vous avec la direction, qui lui proposera le remboursement de la bouteille assorti d’un chèque cadeau de 15 euros. À noter que si la direction du supermarché a proposé de réaliser une analyse du contenu de la bouteille, Stéphanie a préféré refuser, estimant que le Carrefour aurait la possibilité de faire "disparaître la preuve".

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Comment expliquer pareil phénomène ?

À défaut d’examen en laboratoire, il est impossible de savoir qui doit être incriminé pour ce fait divers. Du côté de Carrefour, certains soulignent que le problème peut provenir du stockage : le carton aurait ainsi pu être percé. À noter que la bouteille aurait été achetée il y a quatre à six mois, et sa date limite de consommation était fixée à avril 2015. Dorénavant, le dossier est pris en charge par le service juridique de Carrefour. Selon une source de 20minutes, Stéphanie aurait refusé le bon d’achat et réclamé 5 000 euros pour le préjudice causé. Rappelons que ce n’est pas la première fois qu’un "objet" étrange est retrouvé dans l’alimentation du quotidien : insectes, rongeurs et même téléphones portables avaient ainsi déjà défrayé la chronique, et parfois donné lieu à indemnisation.

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Sources : 20minutes, sudinfo.be